Le travail éloigne de nous 3 grands maux : l’ennui, le vice et le besoin.
(VOLTAIRE).
Le plus beau présent que Dieu ait fait à l’homme est la nécessité de travailler.
(VOLTAIRE).
Sois sans crainte et sans défiance. Que ton sort ne te trouble pas. Que devient-on dans le trépas ? Ce qu’on fut avant sa naissance.
(VOLTAIRE).
Le secret d’ennuyer est celui de tout dire.
(VOLTAIRE).
N’ayant plus aucune parcelle de mon corps ni le souvenir de mes idées d’enfant, je ne suis pas plus Voltaire de cette époque que je ne suis Confucius ou Zoroastre.
(VOLTAIRE).
Dieu me donne l’être librement, sans reproche, sans intérêt, sans m’assujettir à ma propre nature.
(VOLTAIRE).
Le vulgaire regarde Dieu comme un despote qui a des huissiers dans son antichambre.
(VOLTAIRE).
La religion consiste dans la vertu et non dans le fatras de la théologie.
(VOLTAIRE).
Les cultes ne sont pas établis pour Dieu, mais pour nous.
(VOLTAIRE).
Notre mémoire n’est qu’une sensation continuée.
(VOLTAIRE).
Ôter à l’homme ses passions parce qu’elles sont dangereuses, c’est comme le saigner blanc, crainte d’apoplexie.
(VOLTAIRE).
Pourquoi tout serait-il fini à notre mort ? La chenille sait-elle qu’elle deviendra papillon ?
(VOLTAIRE).